PORTRAIT DE LA DIRECTRICE DE L’ARPAQ

Bonjour à tous, c’est à mon tour de vous proposer mon portrait cette semaine !

Je suis Doriane Breton, la directrice de l’association depuis 2015. J’ai pris la suite d’Hervé Le Troadec que vous avez certainement connu. Hervé a été mon directeur pendant 3 années, puisque j’ai  démarré à l’ARPAQ en février 2012, sur le remplacement de Nelly Peron, en arrêt maladie.

Et puisque nous sommes dans les souvenirs, rappelez-vous de Sabine Stephanno, animatrice grand âge, avec qui, j’ai fait mes études sur Brest en Master Sciences Humaines.

Voilà donc presque 10 ans que je suis dans « la maison ». Et j’y suis bien !

Ce qui me passionne dans mon travail, c’est être au service des retraités. Agés ou pas, femmes ou hommes, en pleine forme ou en petite santé ; je vois dans ma mission l’intérêt de ne laisser personne sur le bord de la route.

Mes journées sont bien remplies (hors pandémie) et jamais aucune journée ne ressemble à une autre… j’oscille entre la gestion humaine, financière, administrative et sociale ! Concrètement, je peux gérer un problème de chasse d’eau à la salle de Kernisy avec les services de l’OPAC, déposer plainte pour dégradation sur l’Espace Simone Veil, répondre aux appels à projets ou encore développer des nouveaux projets avec les salariés et bénévoles. Ma mission est bien globale ; faire de l’ARPAQ un lieu de socialisation et de convivialité pour tous les adhérents.

Ce qui fait notre force à l’ARPAQ, ce sont les bonnes équipes (administrateurs, bénévoles et  salariés). Je pense que chacun peut compter l’un sur l’autre, et en même temps que chacun garde sa place. C’est ce qui fait la réussite de la gestion d’une structure comme la nôtre.  Le chef d’orchestre est bien entendu le Président de l’association. Je dois avouer avoir de la chance de travailler en binôme avec un homme ayant pour qualité l’écoute, la confiance et le souci du bienfaire.

Personnellement, je me sens riche des échanges avec les adhérents… nos générations qui suivent ont toujours à apprendre de la sagesse de nos aînés.  Mes deux garçons de 6 et 3 ans ont bien compris que les grands-parents, c’est tellement important !

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